Un souvenir de peau
De la peau en appât
De l’appeau en appas
Au lit porte drap peau
Les plaisirs de la chair
Si semblables peuchère !
Et la vie surenchère
Qui lésant rabat chair
Quand rien n’a plus de sens
Qu’on en oublie l’absence
Survient la renaissance
Et son lot de jouissance
En fougueux corps à corps
Magnifiques accords
Plaqués à cris à cors
Et la vie s’édulcore
Jusqu’au jour où enfin
S’amenuise la faim
Lorsque l’amour défunt
S’enfouit sous le mot FIN
JC en veut encore
Ressuscite son corps
Opaque en ce décor
Cherchant un…justaucorps
Il se sort du troupeau
Avant qu’en oripeaux
Il rende son chapeau
Criant : « Manque de peau ! »
Allez-vous me taper – pas sur la tête, svp – lorsque vous verrez (+ tard dans la soirée), comment j’illustre votre poème ? En fait : c’est lui qui vient anoblir une rubrique 😉
Bonjour J.C. !
Poème très alerte !
" De la peau en appât
De l’appeau en appas " …………………. des souvenir de chasseur de peaux ! …………… Chapeau ! Au bas mot !
Au bas mat aussi ………………………. après la chasse !
Bon, j’arrète là et te souhaite une bonne journée !
Pierre
Une solution : vivre en Béarn ! :-p
Bin, c’est la vie !
T’es pas curé ?